" Faites-vous des cœurs
vastes comme le monde ! "
L'ombre d'un soir gris trempait les grands bois,
Quand le trait d'un soleil victorieux
Vint jaunir les murs du château françois
Et briller dans mill' regards joyeux ;
Imposa le silence au hurlement
Des meutes, un bord au chant des clans,
Suspendant rondes, rassemblements,
Éclats des feux qui ne rougeoient pourtant.
Alors compagnies et troupes mêlées
Virent au vert des gazons surpeuplés,
En plein ciel, répondre la radiance
De nos couleurs en cet arc d'alliance.
Peuple des tentes, Israël nouveau !
C'est là promesse d'un siècle encore,
Qui de Lui descend sur toi en vive eau,
Quand le premier, ce soir, va se clore.
(Le logo du Centenaire est affiché ici
avec l'aimable autorisation du mouvement S.U.F.)
Quand le trait d'un soleil victorieux
Vint jaunir les murs du château françois
Et briller dans mill' regards joyeux ;
Imposa le silence au hurlement
Des meutes, un bord au chant des clans,
Suspendant rondes, rassemblements,
Éclats des feux qui ne rougeoient pourtant.
Alors compagnies et troupes mêlées
Virent au vert des gazons surpeuplés,
En plein ciel, répondre la radiance
De nos couleurs en cet arc d'alliance.
Peuple des tentes, Israël nouveau !
C'est là promesse d'un siècle encore,
Qui de Lui descend sur toi en vive eau,
Quand le premier, ce soir, va se clore.
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